Abus de faiblesse : l’héritier de la victime peut déclencher des poursuites civiles ou pénales
« Même si la victime de l’abus de faiblesse n’a pas porté plainte de son vivant, son héritier est en mesure de se constituer partie civile, si il apporte des éléments prouvant qu’il a subi un préjudice propre et direct »